…mais j’ai une bonne excuse.
En seize années de ce blog, je ne me suis jamais vraiment imposé de rythme de publication. Les articles viennent en fonction de mes goûts, de mes envies geeks, de mes délires. Pour combler un peu mes absences ici, je republie parfois mes articles de Polygamer, dans la partie « Publiés ailleurs » de la page d’accueil, mais ça ne me satisfait jamais vraiment, j’aimerais trouver plus de temps pour smy.fr.
Pour une fois, j’avais prévu plein de choses pour le début 2021, plein d’idées d’articles. Mais par une étrange envie ludique, j’ai voulu tester un des jeux vidéo les plus durs du monde. C’était juste pour ma culture, pour voir une fois dans ma vie ce que donnaient ces jeux dont les joueurs acharnés parlaient, tout en sachant pertinemment que j’avais 99% de chance d’abandonner au premier combat perdu. Le problème des probabilités, c’est qu’elles restent des probas et que parfois on tombe sur le 1%, et je me suis retrouvé dans ce cas.
Le mois de janvier a défilé à toute vitesse avec ce sublime Demon’s Souls sur PlayStation 5, le confinement n’a évidemment pas aidé à me faire décrocher, comme un ado obsédé devant sa console. Plus de quarante heures en un mois, il fallait bien ça pour terminer le jeu et publier Pourquoi j’aime Demon’s Souls, alors que je devrais détester.
Quand je vous disais que j’avais une excuse !
Crédits Photos : Demon’s Souls
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